À la une, à la deux... à la une...

Il l’avait dit ! Bien sûr, pas à nous, mais sur BFM, le 3 janvier. « Je travaille pour que ce délai s’accélère de façon à ce que les professeurs puissent être vaccinés dès que ce sera possible. Ce serait souhaitable, disons au mois de mars au plus tard ». Et puis sur Europe 1, deux jours plus tard : « en tout cas l’objectif c’est de pouvoir commencer au mois de mars si possible ».
Il l’avait dit et après ? Rétropédalage en règle ! Il n’est plus question de vacciner les enseignant·e·s en priorité, pourtant toujours aussi exposé·e·s au virus.

Toujours pas de vaccin contre le mépris du ministre !

La lenteur de la campagne de vaccination est déjà scandaleuse, mais a un goût d’autant plus amer lorsqu’on y ajoute les méthodes de communication habituelles de Blanquer. Encore une fois, tout passe par les grands médias, où les personnels découvrent les revirements du ministre au dernier moment.