La ministre déléguée Grandjean reste sur ses positions de casse du lycée professionnel, avec un calendrier envisagé dès la rentrée 2024. Parcours des élèves diminué de 6 semaines, épreuves aux examens avancées... le ministère prévoit de supprimer un grand nombre d’heures de cours et d’augmenter le nombre de semaines de stage. Les élèves ont besoin de plus d’école, pas d’un bac pro dévalorisé !
La refonte de la carte des formations prévoit la réduction de 15 % des places de formation actuelles à la rentrée 2026, ce qui laisse peu de doutes sur l’ampleur des suppressions de postes que vont subir les collègues.
Ce projet funeste n’est ni dans l’intérêt des élèves ni dans celui des personnels.
L’agenda est serré : les textes passeront au Conseil supérieur de l’Éducation le 14 décembre. Discutons-en et mobilisons-nous pour refuser cette réforme !